jeudi 6 mai 2010

Écolo

Je me suis fait un petit sommet entre moi-même et moi pour étudier l'épineuse question du "global warming" ( plus chic que le réchauffement climatique, ça en jette).

Mon global warming à moi est bien plus différent de celui qui touche(rait) la planète bleue, il touche mon univers à moi, le petit microcosme bleu, ma petite personne, mon petit-être, l'individu que je suis et surtout qui me suit.
Il est important de signaler que tous les voyants sont au rouge et les sonneries d'alarmes avaient retenti depuis belle lurette, mais je me suis bien arrangé pour ne pas les entendre( mon médecin pense que c'est l'utilisation prolongé d'un certain baladeur qui est la cause de ma surdité) .
Mais là je pense que l'heure est grave, il m'est plus permis de faire la sourde oreille et de me prétendre aveugle .
C'est pourquoi un petit grand-nettoyage de printemps ( je dirai plutôt un nikayoun de pessah tardif) s'est imposé à moi. On dégage le superflu, les accessoires, le non-utiles ...
Je me regarde maintenant et je me sens apaisé et je me dis bon, j'ai mis du temps mais j'ai fait le nécessaire. En attendant une prochaine fois qui me mettra nez-à-nez avec un chineur de "kabari"*, le bilan pour le moment : un parasite, un de virer à jamais et pas mal de pacotilles avec .

* kabari, pluriel de kobri, pont en dialecte égyptien. C'est ainsi que certaines personnes perçoivent leurs semblables.

1 commentaire:

Moghrama a dit…

Rien à voir, mais tu me manques, ça fait un bail, je ne sais plus comment te contacter!!